“ Lorsque nombres et figures ne seront plus
La clef de toutes créatures,
Lorsque tous ceux qui s’embrassent et chantent
En sauront plus que les savants profonds,
Lorsque le monde reprendra sa liberté
Et reviendra au monde se donner,
Lorsqu’en une clarté pure et sereine alors
Ombre et lumière de nouveau s’épouseront,
Et lorsque dans les contes et les poésies
On apprendra l’histoire des cosmogonies,
C’est là que s’enfuira devant un mot secret
Le contresens entier de la réalité. ”

Le jour où j'ai pris une photo de l'enseigne d'un McDo avec mon Zenit, je me suis trouvée très spirituelle.
Je me désespère.

Bien, le design du blog est ce qu'il est, je n'en suis pas comblée mais nous nous contenterons de ça.

Je vous mets quelques images du nico#3 puisqu'on arrive en juin, et que donc se pointe l'arrivée du #4. J'ai découvert ce mag' au Salon du Design de Courtrai, et en fait. Je suis juste tombée littéralement amoureuse. Que ce soit la typo, le choix des images, des photos  ou encore des artistes présentés; j'en suis ravie, c'est tout. Au Salon, j'ai reçu le #2 et plus tard, j'ai réussi à obtenir le #3 du mag. Reste le #1, sait-on jamais que vous le croisiez où que vous soyez, pensez à moi, Dieu vous le rendra.

En plus, sauve ma modestie légendaire, je réponds tout à fait au lectorat visé.

Oui, et si vous vous posez la question, non je ne posterai pas des images de nico à chaque nouveau design du blog - parce que oui, c'est déjà fait quelques pages plutôt - mais personne ne crache sur de jolies couleurs emplumées. Ce qui me fait penser à vous dire que j'ai acheté une ravissante cage vide qui ira parfaitement dans mon futur appartement que je déteste d'avance puisque l'homme de ma vie n'y sera point - Dieu, si t'as le temps, aie la bonté de faire que je vive à proximité de lui, mais très à proximité, genre dans le même lit, merci, je te revaudrai ça -; et que cette cage sublime, donc, m'inspire et que demain ou très bientôt - ça fonctionne souvent comme ça avec moi - je ressortirai mon Zenit EM pour vous bidouiller quelque chose - que vous ne verrez probablement jamais -.

Sinon, oui. L'an prochain, ce sera architecture d'intérieur parce que mon style est beaucoup trop luxueux pour l'industriel, si tu le dis Klinky, je veux bien te croire.

Y a trop de "oui" dans cet article décousu. Ah, au fait. Je suis ravie du bonheur d'EvaMay. J'avais besoin de l'écrire.

C'est tout.

Ah non. Là, je vous parlais d'une merveilleuse merveille blonde. En fait, elle s'appelle Joanna et elle est toujours aussi merveilleuse. Seule nouveauté, c'est que Dolarz a enfin réussi à faire une belle photo, on commençait à désespérer, hein.  Et devinez quoi? C'est ma Jolie le modèle. Et avouez que la photo n'est belle que par Joanna. <3.

Avez vous remarqué comme je ne parle jamais de lui, existe-t-il seulement ? Peut-être espéré-je le faire disparaître tout à fait en le gardant pour moi seule. Ah taisez-vous donc, ne m’interrompez pas quand je divague. Je refuse de voir les gens que j’aime, j’ai peur de leur faire du mal, et si je peux les en préserver, je le fais. Par peu de modestie, je me prends pour Lord Henry, et par lucidité, il me semble bien que c’est le cas. Cette emprise que je crée sur les gens, en tous genres, est-ce bien, est-ce mal ? Ne revenez pas avec vos théories existentialistes, voulez-vous. Irène, ne vous fâchez pas. Je ne veux pas vous brusquer, j’aimerai que vous m’écoutiez jusqu’au bout. J’aime plaire, ce n’est pas un mal ; je plais trop, c’est là le problème. Vous les avez bien vus, une fois conquis, ils changent. Ils changent selon moi. Pour mieux me plaire, pour mieux m’avoir. Dois-je les prévenir que je les préfère bruts ? Non, je ne leur dis rien. On ne me prend jamais au sérieux quand je suis sérieuse. Ça ne me sied pas, il faut croire. C’est idiot. Ils perdent tout attrait, et moi, toute patience. Qu’ils sont bêtes, mais alors, dois-je m’en vouloir de leur avoir prêté intérêt en premier ? Pourquoi ne vous moquez-vous pas de ce que je raconte ? Vous m’avez rendue fat. C’est étrange que je supporte encore votre présence, vous me devenez dangereuse, et pourtant, j’ai la folle envie que vous sachiez tout de moi, tout ce que je pense, tout ce que je fais. Irène, restez. Vous ne me plaisez même pas. Vous êtes si peu naturelle, avec vos poudres, et cet atroce pendentif. Mais j’aime votre maison, et votre voix. Vous êtes laide, vous l’a-t-on déjà dit ? C’est pour ça que vous me voulez. Vous me trouvez jolie. C’est si peu flatteur pour moi. Aurais-je été fade, m’auriez-vous appréciée ? Ah, ne me touchez pas quand je vous parle, vous m’égarez. Et je n’aime pas vos caresses, je ne suis pas un chat. (…) Août 2008.

Irène, vous me lisez encore. Souvenez-vous de moi. Le Palais Rabatois. Souvenez-vous de moi, y reviendrai-je seulement ? J’aimerai vous voir. Venez là. J’aimerai vous voir, j’ai besoin de repos, et seule vous. Irène.

(je vais changer l'habillage du blog, le noir en mai, c'est trop triste)

la plus belle connerie de ma vie;

mon amour des corbeaux &ma nouvelle lubie des plumes réunies.

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je m'effondre et tu ne vois rien

jamais les points n'auront été si vrais-

inquinor INQUINOR inquinor

droitdanslemurdroitdanslemurdroitgauchedroitegauchedroitdanslemurdroitdanslemur

paf, tu tombes

boum tu creuses

paf tu tombes

point

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les Points sont faits pour les ruptures;

le Point de rupture;

tu doubles les suspensions;

et tes je t'aime se suivent en virgule.

moi j'ai rêvé de l'apocalypse; j'avais dix sept ans et j'étais immortelle; la vierge se crucifiait au brésil, en se noyant avec l'enfant; blanche et belle, les boucles noires;

c'est le néant au bord des lèvres et les bus s'éteignaient; je devais te sauver, mais

la vierge était belle et elle voulait se noyer avec l'enfant; nous pleurions et un homme l'en empêchait

pour te sauver, il fallait tuer la vierge

la vierge &l'enfant

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