26 décembre 2008
Les murs blancs de Rabat.
Un instant.
C’est comme se mettre en abîme. Au fond de soi-même.
Tout à l’heure, je me briserai le cœur. Un genre de nécessité. Et son cœur à lui ? Remets-toi vite, remets-toi bien.
Respire. Une odeur de fraise ; du gravier au bord des yeux ; tu étouffes la nuit ; et l’orgueil de tes mains ?
Je ne reviens pas, je ne peux pas. Plus tard, si tout ça s’arrange, même si je doute qu’une fois que ce sera fait, je dure encore.
Al-Qalaq.
Publicité
Publicité
Commentaires
N